Ouverture vers les autres, les autres clubs .....

Bon, après que Kiko mais expliqué plus en détail votre point de vue, je n'avais pas vu ça comme ça.... j'ai encore certains doutes, mais c'est vrai que ça tient la route comme point de vue.... (oui, bon c'est un retournement total de veste, mais y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, au moins sur ce point là, je n'en suis pas un )

En gros, l'idée c'est que plus on forme, qu'on conseille nos joueurs à d'autres clubs pouvant leur apporter un niveau plus adapté à leurs capacités, on attirerra de plus en plus de bons joueurs, on pourra alors en garder, et ainsi améliorer le niveau du club, donc attirer des bons joueurs, et ainsi récupérer les bons joueurs d'autres clubs etc.... c'est ça??

Tu commence à comprendre, c'est bien ...

la première chose a faire n'est elle pas de demander leur avis au joueurs ??
car, si certains recherchent le niveau, d'autres veulent juste s'éclater avec leurs potes quelque soit la division dans laquelle ils évoluent.

STAAAN!!! a écrit:

la première chose a faire n'est elle pas de demander leur avis au joueurs ??
car, si certains recherchent le niveau, d'autres veulent juste s'éclater avec leurs potes quelque soit la division dans laquelle ils évoluent.

Avec des données comme ça, les clubs en question n'avancerons pas.

On peut très bien jouer avec ses potes, se faire plaisir, et jouer à un bon niveau ou progresser pour atteindre ce nouveau niveau.

Après, soit on veut progresser et faire progresser le basket, soit on le veut pas et le basket et les clubs sont en péril ...

.... et le mot n'est pas fort

SAM 5 a écrit:

STAAAN!!! a écrit:

la première chose a faire n'est elle pas de demander leur avis au joueurs ??
car, si certains recherchent le niveau, d'autres veulent juste s'éclater avec leurs potes quelque soit la division dans laquelle ils évoluent.

Avec des données comme ça, les clubs en question n'avancerons pas.

On peut très bien jouer avec ses potes, se faire plaisir, et jouer à un bon niveau ou progresser pour atteindre ce nouveau niveau.

Après, soit on veut progresser et faire progresser le basket, soit on le veut pas et le basket et les clubs sont en péril ...

.... et le mot n'est pas fort

Un joueur en général, quand on lui propose d'aller jouer à un niveau plus élevé, il accepte. Il faut de toute façon que toutes les parties soient d'accord et qu'aucun club ne soit lésé dans l'histoire.

AAAAAH!!!
Qu'il est bon ce topic!!!

Vivement la prochaine réunion de bureau du SLB, ou réunion d'entraineur...

VIVE LE BASKET!!!

Merci Kiko pour tes commentaires!!!

Air Fanfan a écrit:

AAAAAH!!!
Qu'il est bon ce topic!!!

Vivement la prochaine réunion de bureau du SLB, ou réunion d'entraineur...

VIVE LE BASKET!!!

Euh ...... je veux bien être invité si vous voulez bien de ma présence, à moins que je dise trop de conneries, ce qui est possible !!!!

faudrait deja qu'il y en est une de prévue

Bah c'est a Fab de gérer ça, mais il me semble qu'il devrait y avoir une réunion d'entraineur "élargie" dans quelques temps. Sam, je crois que Mr Ulous nous considere comme des gens élargis...

Je sais que j'ai pris du poids mais de là à dire que je suis élargi .....

Sam, t'es en mode Obélix ou quoi (JE NE SUIS PAS GROS, juste un tout petit peu enveloppé) ?

Il doit plutot parler de notre largeur d'esprit...

ah d'accord ...

RECHERCHE :

1) Assistant coach sur les cadets région des JS Coulaines

2) Assistant sur la Section Sportive Départementale Basket-ball Filles au Collège Albert Camus.

L'entraineur des 2 structures, c'est moi bien sûr.

Pour ceux qui sont en manque : ce soir La jalt (N3) joue à 20 h 30 contre Rennes (N3)

Aprés La jalt Coulaines : les filles rencontrent Angers (ligue 2, donc deux divisions au dessus ), mercredi 20 heures au COSEC

R3 masculine. Après sept ans passés au club de Sablons-Gazonfier, l'ailier manceau a rejoint l'équipe coachée par Florian Collet.
Pourquoi avoir quitté Le Mans CSSG pour Ruaudin ?


J'étais très bien au Mans où je jouais depuis sept années, mais je ne me sentais plus en phase avec la gestion de l'entraîneur, Abdou Bal. Je n'avais pas d'autre choix que de partir. Mais je reste très attaché au club de Sablons-Gazonfier où j'ai encore mes meilleurs amis et je m'entends bien avec Abdou. D'ailleurs, il m'arrive encore de m'entraîner avec mes anciens partenaires.

Comment se déroule ton intégration dans ton nouveau club ?

J'ai été très bien accueilli par le groupe. Je connaissais déjà quelques joueurs comme mon beau-frère Simon Benoueddenne. Florian Collet, l'entraîneur, m'a nommé capitaine, un rôle que je prends très à coeur. J'ai un mental de gagnant et je m'exprime beaucoup. C'est un honneur de partager mon expérience avec les plus jeunes de l'équipe.

Avec deux victoires au compteur, Ruaudin affiche de belles promesses...

Le premier match face à Évron n'a pourtant pas été facile. Nous étions menés de 16 points à la mi-temps. Après avoir mis les choses au point à la pause, nous sommes repartis de l'avant pour nous imposer au final (70-59). Ce groupe est un peu insouciant, mais il a démontré qu'il avait du potentiel et du caractère. Malgré notre manque de taille, on a les moyens de bien figurer dans la poule.

Ouest-France

Et de qui parle l'article?

Benoît Marcille...

Ah oui la légende était sous la photo

Sports : Mathieu Lemercier, itinéraire d'un surdoué


Portrait.
À seulement 23 ans, Mathieu Lemercier, le coach des cadets du Scm champions de France, vient d'être élu entraîneur de l'année.
« Mes parents faisaient du basket. Quand nous avons déménagé à Guécélard, j'ai commencé à jouer là-bas », se souvient le jeune technicien manceau. Depuis ses tendres années jusqu'à aujourd'hui, Mathieu en a parcouru du chemin, gravit des échelons. D'abord en quittant ses copains du coin pour s'en aller jouer au Mans, puis en devenant entraîneur.

Philippe Desnos, le père spirituel

L'arrivé de Mathieu au Mans et au Scm sonne comme une évidence, « mes grands-parents travaillaient aux comptoirs modernes, ils connaissaient bien Monsieur Baltzer. Et puis, mon père est un ami de Philippe Desnos. » On est alors en catégorie benjamin. L'année d'après, notre futur champion accède au championnat de France minimes, l'apogée de sa « carrière de joueur », car déjà, se dessine une sensibilité évidente au coaching. À 14 ans, il n'encadre pas encore les cadets France, mais il parfait déjà ses gammes sur les jeunes du cps (centre de perfectionnement sportif) et de l'école de basket. « J'ai eu la fibre d'entraîner avec Philippe Desnos. À l'époque je le suivais avec les filles du Scm qu'il entraînait, sur tous leurs matchs. Je réalisais même des fiches sur chaque joueuse ». Quid de l'école, quand on passe autant de temps au basket ? « Petit, j'étais posé, j'étais plutôt bon élève. Donc, je n'ai jamais eu de soucis pour venir aux entraînements ou aux déplacements ».

Championnat de France, coupe de France, assistant des Espoirs du Msb, Mathieu a attendu son heure, une patience aujourd'hui reconnue et récompensée. « Je ne serais rien sans mes joueurs. En tant qu'entraîneur, quand tu es distingué, même individuellement, sans tes joueurs, c'est compliqué. S'ils n'avaient pas confiance en moi, je ne serais pas là. Tout le mérite leur revient à eux aussi », explique le Sarthois. « Ce trophée je veux le dédier à Philippe Desnos (le directeur du centre de formation du Msb), tout simplement parce qu'il m'a fait confiance. C'est lui qui m'a ouvert les portes du haut niveau. C'est aussi la politique du Mans, que de montrer que ce n'est pas parce que l'on est jeune que l'on ne peut pas réussir ».

Pour réaliser ce fameux doublé coupe-championnat, Mathieu Lemercier s'est appuyé aussi sur son entourage, « la famille, les amis, mon assistant Thomas Roelens, les dirigeants du Scm et du Msb, sans eux, on n'aurait pas réussi dans notre entreprise ».

Le BE2 dans un coin de la tête

Humble et modeste, Mathieu envisage la suite avec calme, « je m'épanouis sur la formation des jeunes. Mais j'espère passer mon BE2 et l'obtenir. C'est un nouveau challenge. Je vais attendre deux ans. Je veux me sentir suffisamment armer pour ne pas que me présenter. Personne dans le métier n'a le savoir, je veux continuer à grandir et à me cultiver. »

Ouest-France

Basket-ball : Sébastien Bourgeois : du bitume au sifflet

Sébastien Bourgeois, qui officie déjà en ligue féminine et en Pro B, espère découvrir un jour la Pro A. Portrait. C'est un nom et un prénom dans le petit monde du basket sarthois. Sébastien Bourgeois, l'ancien joueur se forge une solide carrière d'arbitre.

C'est sur le tard que Sébastien, alias « Boubou » pour les intimes, se découvre une passion pour la balle orange. « J'ai débuté le basket tout de suite après les J.O de Barcelone. De voir jouer la Dream team, cela m'a poussé à en faire », explique l'arbitre manceau. Devant sa télévision, il y voit même Pascal Dorizon, l'illustre arbitre national de l'époque, siffler les Jordan, Johnson ou autre Bird. Un premier signe du destin.


Le joueur : l'attaque dans le sang

C'est donc à 14 ans, que Sébastien use ses premiers shorts et enfile ses premiers paniers. Sur le parquet du gymnase Alain Fournier ou sur les terrains de rue avec ses copains, les frères Bigot, Vallejo, et son pote Freddy Dogoum, il s'initie au jeu « made in Nba ». « Quand j'étais adolescent, je faisais beaucoup de street-ball avec mes potes. On adorait imiter le jeu des Américains ». Un style qui lui permet d'accéder aux portes de la Nationale, avec son club de l'époque. « Je suis resté 7 ans au Judo-Club du Mans. Après, j'ai pas mal voyagé dans les clubs du département », reprend l'intéressé. Un parcours qui va le mener du Scm jusqu'aux Sablons-Gazonfier, en passant par la Jalt ou Coulaines.

Une accession fulgurante

Avant de quitter son club formateur, Sébastien se lance dans une nouvelle aventure : l'arbitrage. « Je suis devenu arbitre à l'âge de 17 ans, car au sein du club, on avait besoin d'arbitres », explique-t-il. Avec une partie de ses potes, il commence à officier en départementale. Très vite, le néoarbitre montre des qualités intéressantes, au point de devenir arbitre région, en seulement 3 ans. « J'ai été détecté en R3, cela fait maintenant 4 ans. Par la suite, j'ai effectué plusieurs stages qui m'ont permis de passer de la R3 à jusqu'à la NM1 ». Une accession fulgurante, en partie due à « Thierry Sineau (le responsable de la commission des arbitres en Sarthe). C'est lui qui m'a fait évoluer », avoue Sébastien. Une réussite qui, néanmoins, ne lui fait pas tourner la tête. « Ma progression a été très rapide. Mais il faut rester humble, posé, à l'écoute du jeu, et savoir se remettre en question si l'on veut réussir ».

Le basket prend donc une part considérable dans la vie de notre homme, qu'il lui impose des sacrifices. « Je dois poser des congés lorsque j'arbitre le vendredi soir ou en coupe dans la semaine. Mais, j'ai la chance d'avoir un chef assez conciliant, donc je peux me le permettre ». En remerciement, il met sur pied une section basket dans son entreprise.

Un rêve : la Pro A

« Mon objectif, c'est clairement la Pro A. Mais avant d'y penser, je dois réussir à me maintenir en Pro B », explique-t-il, « c'est chaud, il n'y a pas beaucoup de places. Certains arbitres sont en Pro B depuis 7 ans et n'ont encore jamais accédé à la Pro A ». Convoqué en Ligue féminine, Sébastien doit encore s'armer de patience et confirmer, histoire de boucler définitivement la boucle. Et peut-être qu'un jour, « Boubou », sous le feu des caméras, permettra à un autre Sébastien Bourgeois de se découvrir une passion.

Sébastien Bourgeois, passé par le SLB en équipe 2 et pour l'anecdote, a cassé un panier à Ruaudin lors d'un concours de dunk...

Une belle rencontre à Gouloumés dimanche à 15 h 30 : cadet France SCM contre Nantes Hermine (à part bien sur nos séniors 2 qui jouent contre le judo club à 13 heures 30)