Saison 2009-2010

Tu dois confondre avec 2009, car moi il me semble qu'on en avait pas énormément, et qu'on avait d'ailleurs dut en demander aux Orléanais qui n'avaient pas tout écoulés.... 2009 par contre, y avait du monde, mais c'est la Coupe, c'est totalement différent...

Bok's a écrit:

Tu dois confondre avec 2009, car moi il me semble qu'on en avait pas énormément, et qu'on avait d'ailleurs dut en demander aux Orléanais qui n'avaient pas tout écoulés.... 2009 par contre, y avait du monde, mais c'est la Coupe, c'est totalement différent...

J'avais plutôt l'impression que le public montait bien en pression...donc un peu surpris qu'ils aient pu tabler sur un nombre si faible à la vente. En tout cas ça ne va pas avec les discours du président..ce serait bien de l'entendre du ce thème.

Bon je serais pas avec David... je serais aussi responsable d'un car

Frilosité c'est le terme..à priori,lors de la belle de la demi finale contre Roanne, seuls 700 abonnés sur 1200 avaient réservé leur place pour ce match.
Ils ont donc bien eu peur du risque financier sur la finale et ont joué à minima, mais mauvaise anticipation apparemment.

allez voir sur le site officiel, il y a une explication sur le nombre de places dont disposait le MSB

Pasacal LEGENDRE a écrit:

Dimanche, c’est la finale de Pro A (de Pro B aussi). Ça vous le savez. J’espère d’ailleurs que vous aurez tous l’occasion de la suivre, sur place à Bercy ou à la télé. Mais dans ce post, c’est aux supporters des deux équipes qui vont faire le déplacement que je m’adresse. « J’ai besoin de vous ! »


Je vais réaliser un reportage « inside » . Sans tout dévoiler, disons que je vais parler de différents acteurs de cette finale. Des joueurs, des coaches, des dirigeants, des journalistes et donc des supporters. A cet égard, je me rends à la Meilleraie mercredi et à Antarès jeudi (drôle de situation avec les essais des « 24 heures » au même moment ; il faut savoir que la salle est DANS le circuit).

Seulement, je ne vais pas me rendre en bus à Bercy ni même monter dans un kop, je prends lâchement le TGV (je ne me suis jamais réellement remis de mon voyage ferroviaire Limoges-Grenoble avec les supporters pour la finale de la Coupe des Coupes 1988. Du rosé à 6h du matin, houla !) et je serai assis comme d’hab à la tribune de presse.

Aussi, j’invite les supporters des deux camps à m’envoyer leurs photos (à maxiboy@ilovebasket.com) prises dans le bus, sur l’esplanade de Bercy, à l’intérieur (pas du match, pas besoin, on a des photographes sur place) et lors du retour victorieux pendant la fiesta (bon, là, je ne m’adresse plus qu’à un seul camp, on verra lequel). Surtout soyez fous ! Vous avez vu les délires des fans américains, leurs peintures de guerre, leurs slogans, leur imagination ? Faites pareil ! Les meilleures (c’est moi le seul juge) passeront dans Maxi-Basket. Gratuitement, car je tiens à préciser qu’il n’y a pas des millions de dollars à gagner en droits d’auteur !

Je sais qu’il y a des lecteurs de ce blog de Limoges et de Pau-Lacq-Orthez, et je ne voudrais pas les laisser pour compte. Vous pouvez aussi me transmettre vos clichés inoubliables. Les meilleurs de ceux-ci iront sur ce blog.

Dernier délai des envois, mercredi 16 (il n’y a plus de cachet de la poste qui fait foi…).

Que le meilleur gagne ! (je parle des matches). Ceci dit, en basket, contrairement au foot*, c’est toujours le cas.

* A ce propos, vous en avez pas marre de la surmédiatisation de la Coupe du Monde ? Mais comment peut-on raconter autant de choses sur une compétition ? Il y a de tout et surtout du n’importe quoi.

voilà pour ceux qui font le déplacement à Bercy, si vous voullez voir votre trombine dans le prochain Maxi Basket, vous savez ce qui vous reste à faire !

le lien du blog de Pascal Legendre : http://www.ilovebasket.com/

tcho

Le beau tee-shirt...


Pour choisir un car ça va être chaud les marrons par contre... ça sera pas comme la dernière fois, là les gens seront mis en attente dans une zone en bout de parking, et ils feront passer X personnes à la fois pour accéder à la zone des bus, on remplit un bus, on laisse passer X personnes pour remplir le suivant, ... donc si vous vous regroupez dans la zone vous serez sûrement ensemble, par contre ça sera dans le bus qui se présentera au moment où ça sera votre tour. J'ai le bus 15 et David le 16 ou 17.

Je vois l'intérêt qu'ils ont de faire comme ça... ça se passait très bien les dernières fois...

Bok's a écrit:

Je vois l'intérêt qu'ils ont de faire comme ça... ça se passait très bien les dernières fois...

Ah bah non ça va être carrément mieux gérable là... les dernières fois c'était la guerre dès qu'un car arrivait tout le monde se jetait dessus, surtout si c'était un car récent ! Là au moins les gens entreront sur la zone des cars par nombre précis en fonction du nombre de places dispos dans le prochain car à partir, ça sera beaucoup moins bordélique et dangereux.

Par contre on risque de prendre cher niveau ambiance... Déjà que les choletais sont beaucoup plus nombreux, ils auront tous une écharpe en plus de leur tee-shirt, ils ont fait une banderole de 1m40 de haut sur 15 mètres de large avec écrit CB YES WE CAN ou truc dans le genre en plus des babioles habituelles, et ils arrivent avec 2000 trucs comme les roannais avaient à la belle (les espèces de torche comme on met des fois sur les gâteaux d'anniversaire je sais plus comment ça s'appelle ). En plus ils auront leur mascotte et pas nous (une histoire logistique un peu bête).

Et nous, on aura quoi?

Bok's a écrit:

Et nous, on aura quoi?

tee-shirt, tap tap, journal, comme d'hab

Et bah sont pas brillants.. non seulement, ils achètent pas assez de places, mais en plus, on a pas bcp de choses pour faire du bruit...

Heu... pour les banderole et compagnie, c'est pas au club de s'en occuper mais aux supporter eux même, c'est surement ce qu'il s'est passé au CB. Donc faut pas tout rejeter sur le club non plus...

Gaetanovic a écrit:

Heu... pour les banderole et compagnie, c'est pas au club de s'en occuper mais aux supporter eux même, c'est surement ce qu'il s'est passé au CB. Donc faut pas tout rejeter sur le club non plus...

Faudrait connaître le chef des félins

Gaetanovic a écrit:

Heu... pour les banderole et compagnie, c'est pas au club de s'en occuper mais aux supporter eux même, c'est surement ce qu'il s'est passé au CB. Donc faut pas tout rejeter sur le club non plus...

Je parle pas de la banderole.. ça fait pas bcp de bruit...

Bon pour ceux qui restent en Sarthe : 96.00 en direct sur France bleue FM

A la radio c'était assourdissant le silence des supporters du MSB, il n'y en avait que pour Cholet

Battus sur le terrain. Et dans les tribunes. Les fans du MSB ont vite déchanté.
Un hurlement énooooooorme ! Cri du coeur. Cri des coeurs, qui brise les tympans et serre l'estomac. 18 h 30, dimanche, dans un palais omnisports de Paris-Bercy nimbée d'effluves de sueur. Le MSB vient d'enfiler son premier panier. La tribune des supporters du MSB exulte.

Euphorie de courte durée. Cholet prend vite l'avantage. Mains jointes comme à la prière, joues rosies par l'émotion, Ludivine, 18 ans, s'est postée au premier rang pour ne pas en perdre une miette. La jeune Mancelle aux cheveux blonds taillés court reste sur sa faim.

Derrière elle, Arnaud, fervent animateur des Félins, club de supporters du MSB, rugit en martelant sa grosse caisse façon Tambours du Bronx et de Pontlieue : « Allez, Le Mans, tes supporters sont là ! » Les mordus du MSB y croient encore. Mais dans les travées de la salle, pleine comme un oeuf, le peuple des Mauges, maillots couleur sang, domine les tango un peu pâlots. En nombre. Et en décibels.

La deuxième mi-temps tourne au vinaigre. Les gradins sentent la soupe à la grimace. Quand le MSB remonte la pente, le vacarme reprend, l'orage gronde, on ne s'entend plus. Christophe, 42 ans, venu de la Sarthe en bus, pose index et pouce sur la gorge : « Ce soir, je n'aurai plus de voix. » Après avoir bondi de son fauteuil-ressort, Romain, son fiston, finit par s'écraser. Serge, perruque digne de Robert Herbin, reste aux aguets, guette le moment où les fauves du parquet font bondir les Félins des tribunes. Mais le gibier s'échappe. Inexorablement.

Avant le match, certains blaguaient. « On va ramener la Coupe. Même si Cholet gagne, pour rentrer, il faudra passer par Le Mans. » La boutade ne fait plus rire Soizic, qui, assise dans les escaliers des tribunes, a lâché caisse et trompette. Déçue ? Haussement d'épaules : « On a mal joué. » Au coup de sifflet final, Ludivine serre la mâchoire, baisse la tête. Et peine à retenir une larme.

Jérôme LOURDAIS.

Ouest-France

Pro A. Cholet devient champion de France pour la première fois !

Cholet a remporté le titre de champion de France de basket-ball en battant Le Mans 81 à 65 en finale de Pro A, dimanche au Palais omnisports de Paris-Bercy. C'est le premier sacre national pour Cholet qui succède à Villeurbanne, tenant du titre même pas qualifié pour les quarts de finale cette année.

Il offre à Cholet la garantie de disputer le tour principal de l'Euroligue la saison prochaine. Le Mans, qui échoue dans sa quête d'un cinquième titre de champion, devra a priori se contenter du tour préliminaire, comme cette saison et comme Villeurbanne, qui bénéficie d'une invitation. Ce titre récompense une superbe année des Choletais qui, après avoir terminé premiers de la saison régulière pour la première fois de leur histoire, ont réussi à perpétuer leur domination jusqu'au bout, même s'ils ont frôlé la sortie de route face à Gravelines en demi-finales.

Dans le derby de l'Ouest, les joueurs d'Erman Kunter ont fait la différence grâce à un plus grand enthousiasme et une défense qui a complètement neutralisé le jeu manceau et plus particulièrement le meneur Zack Wright, brillant dernièrement mais transparent dimanche. Les Choletais ont mené pratiquement de bout en bout en prenant rapidement dix points d'avance grâce à Mejia et Robinson. Ils n'ont jamais permis au Mans de repasser devant, malgré quelques rapprochés au deuxième quart-temps.

Cholet met les bouchées doubles

Les joueurs des Mauges ont ensuite pris le large avec le réveil de Gelabale, auteur de neuf points dans le troisième quart (58-46, 30e). Plus précis de près et surtout plus mordants, ils ont survolé la fin de match pour infliger à leurs voisins du Mans leur première défaite à Bercy en quatre finales. Robinson, avec quinze points, a terminé meilleur marqueur choletais mais c'est surtout le collectif choletais qui a brillé avec six joueurs entre 10 et 15 points.

Avec ce premier titre de champion, qui s'ajoute à deux victoires en Coupe de France en 1998 et 1999, Cholet trouve enfin la récompense d'une politique de longue haleine, basée sur la formation qui a révélé des joueurs comme Rigaudeau, Bilba, Gelabale, Beaubois ou De Colo.

Seulement septième masse salariale de ProA, Cholet devient le septième champion différent en sept ans. Depuis la mise en place d'une finale sur un match sec en 2005, aucune équipe n'a encore réussi à remporter à deux reprises le trophée, preuve de la grande homogénéité du Championnat de France.

CHOLET - LE MANS : 81-65

(25-20, 15-18, 18-8, 23-19)

Arbitres : MM. Bichon, Bissang, Guedin. 14 488 spectateurs

LE MANS : 25 paniers (dont 6 sur à 18 trois points) sur 56 tirs - 9 LF sur 15 - 27 rebonds (Spencer et Batista 5) - 8 passes - 5 interceptions - 16 balles perdues - 20 fautes personnelles

Marqueurs : Lombahe-Kahudi, Spencer (21), Batista (12), Salyers (10), Z. Wright (7), Ndoye (11), Rupert, Kahudi (4), Yang, Samake, Mendy.

CHOLET : 31 paniers (dont 5 sur 22 à trois points) sur 60 tirs - 14 LF sur 17 - 28 rebonds (Gelabale 9) - 22 passes (Mejia 7) - 12 interceptions (Mejia 5) - 10 balles perdues - 17 fautes personnelles

Marqueurs : Leonard, Eitutavicius (6), M. Gelabale (11), Causeur (2), Falker (14), Linehan (10), Robinson (15), Mejia (12), Larrouquis, Sommerville (11), Chupin.

Ouest France

Spencer en pleurs, Kahudi admiratif

Dee Spencer en avalerait son maillot : sa déception est énorme!
La tête baissée, Dee Spencer semble inconsolable. Terminer la finale meilleur marqueur (21 points), ça lui fait une belle jambe à l'artiste. Les yeux rougis, l'Américain n'a même pas envie d'aller chercher sa médaille de finaliste. Tour à tour, son coach et son président viennent le réconforter. Tout en espérant que ce premier échec à Bercy du MSB leur permettra quand même de conserver un an de plus l'un des plus grands talents bruts de ProA.

« Bercy, c'est magique sauf quand on perd », lançait la veille le vieux sage nommé Rupert. Dix ans après, l'ancien Limougeaud rêvait d'une nouvelle étoile sur son maillot. « Je suis dégoûté. Une immense déception même si Cholet a été meilleur que nous. On a été complètement désuni. Nous n'avons pas joué ensemble ».

Un peu plus tard, dans un vestiaire manceau forcément abasourdi, Maleye N'Doye partageait l'analyse. « Collectivement, nous n'avons jamais été dedans. En deuxième mi-temps surtout, on a éclaté (sic). C'est frustrant de ne pas être au niveau le Jour J. Ils nous ont empêchés de développer notre jeu ».

Le jeune Henri Kahudi, l'une des surprises du chef, ne dira surtout pas le contraire. À 19 ans, il s'est coltiné le virus Linehan dans les pattes. Bonjour le cadeau. « C'est vraiment un poison (Il en rigolerait presque). Je n'arrivais même pas à enclencher mon dribble ». Malgré la déception, le jeune meneur espoirs avait quelques étoiles dans les yeux. « Évidemment, je ne m'attendais pas à jouer autant (Ndlr : 12'30). J'ai essayé de faire de mon mieux, de perdre un minimum de ballons. J'ai fait ce que j'ai pu ».

Antoine Diot aussi a encouragé comme il a pu. Le grand absent de la finale « très, très frustré » par le scénario et surtout le verdict. « On travaille toute une année pour jouer de tels moments mais Cholet a réussi un très beau match. On peut apprendre d'une telle claque pour essayer de revenir plus fort encore ». L'international français qui cherchait à positiver la situation. « On a été assez loin en Eurocup, on termine la saison régulière dans le Top2, on se hisse en finale. Malgré les soucis, on a toujours su rester solidaires ». C'est vrai même si Cholet a également dominé Le Mans dans ce domaine.


Philippe PANIGHINI.
Ouest-France

Cholet était plus fort que le MSB

La joie des Choletais après la conquête méritée de leur premier titre...
Finale : Cholet- Le Mans (81-65). Les Choletais ont largement dominé la finale des playoffs et sont champions de France pour la 1re fois.
PARIS (de l'un de nos envoyés spéciaux). - Dans l'après-midi, au coeur du débat, il nous est revenu à l'esprit une phrase d'Erman Kunter avant la demi-finale retour à Gravelines. « Si nous gagnons ce soir, nous serons champions. » Le « Malin du Bosphore » n'est pas seulement un grand coach mais il est aussi quelque part un pronostiqueur de talent et un fin connaisseur de ses troupes.

Hier à Bercy, SON groupe, SA patte, SON travail de fond ont enfin donné à Cholet ce que tout une ville, une région, attendaient depuis 22 ans. Le titre de champion. Celui qui va faire frissonner toutes les Mauges, le Bocage Vendéen, dans les heures prochaines.

La consécration pour Michel Léger, le fondateur, dans les tribunes, Patrick Chiron, l'actuel président. Un juste sacre pour des hommes dont la discrétion n'a d'égale que la force de caractère. La persévérance finit par payer. Et c'est tant mieux !

Le collectif choletais imprime sa marque

Pourtant, ce sont les expérimentés sarthois qui abordaient ce dernier rendez-vous de la saison avec un pronostic légèrement favorable. « Under pressure », la reprise du tube de David Bowie avait retenti dans Bercy, avant match. La pression, quelle pression ? Dans leur vestiaire, les Sarthois affichaient une belle décontraction. Trop ? Les vieux briscards à qui on ne l'a fait pas, abordaient la finale, plutôt sereins. Le problème c'est que neuf minutes après le coup d'envoi, les mines mancelles avaient changé de physionomie. 11 points de passif (21-10), les Choletais prégnants défensivement et réalistes sous l'impulsion de Mejia et Robinson filaient grand train. Un signe ?

Wrigth, avec deux fautes, sortait prématurément (7e). Pari réussi pour Erman Kunter qui avait aligné Sommervillle et Eitutavicius d'entrée de jeu. Les Manceaux étaient contraints d'aligner le jeune Henri Kahudi (19 ans), 52 minutes de jeu depuis le début de la saison. Jackson prenait un gros risque (justifié) avec Henri Kahudi. Cholet avait peut-être le tort de continuer à jouer rapide.

La guerre des coaches faisait rage. 8 minutes de jeu en une première période pour Wright. 10 pour Gelabale. Le gros bras sur le banc, les « deuxièmes lames » assuraient. À ce petit jeu, néanmoins, les Sarthois revenaient au contact (27-26, 13e) et le demeuraient jusqu'à la pause (40-38). Un moindre mal pour le MSB, une occasion de manquer pour CB. Mais quel match !

Cholet trop fort

Gelabale et les siens revenaient sur le terrain avec le mors aux dents. 20 minutes avant un premier titre. 20 minutes de labeur intense pour décrocher le Graal. Ca motive !

Les 3 500 supporters choletais portaient leur formation qui s'envolait à nouveau (51-40, 26e). Deuxième attaque tranchante, diraient les commentateurs cyclistes. Deuxième coup de semonce reçu cinq sur cinq par Jackson. Temps-mort opportun ! Histoire de remettre de l'huile. N'Doye sanctionné d'un passage en force (3e faute) quittait le parquet. CB appuyait à fond (53-42 à la 28e). Le collectif de Kunter maîtrisait (15 passes décisives contre 7 à ce moment du match), avait la mainmise sur le débat (58-46 à la 30e). Falker se régalait. KO, les Manceaux piquaient du nez d'un coup sec (65-48 à la 33e, 79-60 à la 39e). La messe était dite.

Cholet était trop fort, hier.

« Il n'y avait qu'une équipe sur le terrain après la pause », reconnaissait Jackson. Le leader de la phase régulière, champion de France. Avec la manière (81-65). Ce n'est que justice. « On a super-bien géré durant 40 minutes », se félicitait Gelabale. Le Mans s'en remettra, Cholet en profitera pour thésauriser sur un succès, véritable ballon d'oxygène. Dit Erman, tu restes ? L'Euroligue arrive. Vive les Mauges !


Alain MOIRE.
Ouest-France

Pour la saison prochaine

Batista, Kahudi, Diot et Rupert seront là
Salyers, Wright et Yango sur le départ
Dee Spencer et N' Doye en point d'interrogation
Pellin, Coville (Orléans) et Dewar (ASVEL) nouvelles recrues

Samuel Meija a déclaré qu'on l'annoncait au Mans... En remplacement de Spencer pourquoi pas...

Non, je veux garder Spencer moi

N'doye devrait partir... donc Kahudi en 3 avec Dewar en rotation? Le 2 devrait être un profil identique à celui de Dee (j'espère que ce sera Dee lui-même). En 1 on aurait Diot-Pellin et Kahudi sur les postes 1 et 2.

Par contre, le point d'interrogation est sur les postes intérieurs... en 5 on aura Batista et apparemment Coville... Rupert sera là.
Par contre, quel profil pour le poste 4? Un 4/3? Un 4/5 ( Koffi? Slaughter?) ?

Ben elle est ou notre grosse recrue étrangère qui sert à rien la dedans (après la saison décevante de Blutenthal et celle méga pourrie de Salyers)??